Contre le G7, pour un autre monde

Du 19 au 26 août, mobilisons-nous et organisons-nous

Du 24 au 26 août, 7 des chefs des États parmi les plus riches de la planète se retrouvent à Biarritz sous la présidence de la France.

De plus en plus autoritaires et bellicistes, ces 7 puissances se rencontrent pour perpétuer un système au service des plus riches et des multinationales. Il est temps de stopper ce système mortifère. Face à leurs faux discours, il est nécessaire de nous mobiliser au Pays Basque pour nous y opposer par nos idées, nos alternatives et nos luttes et imposer l’urgence écologique et sociale. Continuer la lecture

Madrid (Espagne ) : Une mer de possibilités dans le désert de béton.

Le territoire est le lieu où le pouvoir déploie ses mécanismes et, avec eux, le conflit.

L’État a besoin d’un territoire pour développer et rendre effective sa domination. A son intérieur, des groupes sociaux se disputent le pouvoir, la réalité. Même la construction politique de l’État-nation exige un territoire donné, qui fonctionne comme cadre : on parle ainsi d’un territoire national, défendu par des frontières, des murs, des barbelés, la police, l’armée, des camps d’internement et des postes de contrôle.

Sur un plan plus concret, en dehors d’échelles nationales dégoûtantes, on trouve que le territoire est l’échiquier sur lequel s’appliquent les règles du jeu. Le pouvoir doit occuper le territoire afin d’assurer l’hégémonie de sa réalité, le fonctionnement de ses règles. A l’intérieur du territoire, la lutte pour l’espace, le questionnement des ordres de l’autorité dans un cadre donné, sont la base même du conflit avec le pouvoir. Continuer la lecture

Appel des révolutionnaires soudannais-e-s à la désobéissance civile totale après le massacre militaire

Plus de 30 personnes ont été tuées par les forces de sécurité qui ont pris d’assaut le principal camp de manifestation de la capitale, Khartoum, lors du massacre le plus brutal depuis le renversement du président Omar al-Bashir.
L’Association des professionnels soudanais (ASP), l’un des principaux groupes d’opposition qui a organisé la révolution soudanaise qui a débuté en décembre, a déclaré que la répression de lundi équivalait à un « massacre sanglant ». Continuer la lecture